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Il est rare qu’un éditeur fasse la promotion de ses ouvrages. D’ordinaire, c’est plutôt Le Matricule des ânes qui s’en charge. Je vais donc faire la promotion de mes ouvrages (hi-han le mulet). Ils sont très bien. Je les ai lus avec passion et plusieurs fois dans des versions très différentes. J’ai eu parfois la tentation de les écrire. C’est le côté ingrat mais beau de ce métier. Il faut tout faire soi-même au nom des autres. Une chose est vérifiée. L’éditeur ne renonce jamais ni ne se laisse réduire au silence de ses ennemis. Pas besoin de consultation publique. Il est un hémicycle à lui tout seul, à lui tout seul l’assemblée des lecteurs réunis.
Le plus sûr moyen d’obtenir du Like est de parler du FN. Pour, contre, à côté, tu ramasses.
(Douille vide)
Dans tout naze qui s’ignore se dresse un réseau de Liketeurs.
Le roman de plage s’attaque surtout à la lagune.
La lecture, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie jamais. Le nombre des cyclistes est enaugmentationconstante.
Éditeur plein de terre cherche langue désertée.