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Interview de Valérie Tafforeau, libraire, et David Marsac, moi-m’aime en personne, à l’occasion de la renaissance deL’Herbe entre les dalles et la présentation prochaine des Vingt sonnets à Marie Stuart, à la Fonderie. C’était hier à 22 heures, l’heure des auditeurs choisis sur Radio Alpa, dans l’émission Panopticon (ton doigt sur l’image).
Il était temps. Claro a enfin compris que le tracteur invente une langue originale. (Pour l’écrivain, on verrat plus tard.)
Auparavant, il avait pris le temps de maltraiter d’un commentaire truffé d’erreurs, d’inepties et de coquilles raboutées notre édition quadrilingue des Vingt sonnets à Marie Stuart, réduite sur son clavier à une sorte d’exercice de traduction comparée plus ou moins fidèle au tractopelle garanti d’origine.
L’incompétence motorisée est-elle l’autre nom de la malveillance ?
J’exige une palinodie publique (au minimum, une réforme agraire).
Vous dire que nous sommes en retard relève d’une approximation du vrai tant nos délais sont incertains, nos prévisions bornées au lendemain. Une chose est pourtant sûre : Le Prénom a été modifié par l’imprimeur que nous avions choisi pour le soin apporté aux tirages précédents. Il vient de se planter dans le Pantone de couverture. Cela ressemble à de l’humour bulgare d’un vert très pâle en comparaison du joli gris rémunéré de nos attentes. Les collègues se marrent. Demain promis, je m’exile en Chine.
Supporte et abstiens-toi (de tout commentaire).
On réimprime, et on revient vers vous avec un livre plus intraitable que vos rêves déboîtés
– de leur crâne.