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J’ai connu beaucoup d’artistes faisant du petit art humoristique et superficiel, se multipliant en jeux de mots spirituels. Et soudain en voilà un qui arrive avec un gros marteau à la main, tapant en plein milieu de la vie et chacun sent : C’EST ÇA, peu importe si ce n’était que plaisanterie, sérieux ou tragique. L’art se répand comme la peste. Parce que tout ce que cette personne touche devient ce qui touche chacun.
Lettre du nouvel an
Otto Muehl
Derrière la salle de bains
(2009)
Si je glaviote dans la soupe, c’est pour lui donner du goût.
Lire, c’est trouver une anguille dans sa boîte de soin.