P.N.A. Handschin
Deux livres auront retenu l’attention des distraits littéraires au mois de février : les Vingt sonnets à Marie Stuart de Joseph Brodsky et le Traité de technique opératoire de P.N.A. Handschin, qui paraît aujourd’hui. Nous ne sommes pas en mal de noms pour le Pan-Panthéon.
Vite, une morgue indépendante !
(Deux occasions de vérifier la compétence de votre libraire.)
Serais-je le fils naturel de Kalachnikov et de Pierre Dac ?
Il me manque les tomes suivants.
Tout l’Univers, VII, VIII, IX, X, XI, XII, XIII, XIV, XV, XVI, XVII, XVIII, XIX, XX, XXI, XXII, XXIII, XXIV, XXV, XXVI, XXVII, XXVIII, XXIX, XXX, XXXI, XXXII, XXXIII, XXXIV, XXXV, XXXVI, XXXVII, XXXVIII, XXXIX et XXXX.
(Puis la mort mit un terme à notre attachement.)
Je comptais être l’unique lecteur de P.N.A. Handschin, mais déjà la rumeur gronde et s’enfle : une centaine de gaillards se massent devant le Panthéon, à poil et décidés à faire valoir une admission anthume.
Gymnopédistes en lecture sur un pied.