Roman
Le roman de plage s’attaque surtout à la lagune.
La lecture, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie jamais. Le nombre des cyclistes est enaugmentationconstante.
Éditeur plein de terre cherche langue désertée.
Le roman d’aujourd’hui est un petit miroir que l’on promène le long de sa personne à la recherche d’un souffle – un vent, à la limite.
Nous allons jouer le jeu, nous aussi, puis flinguer les cadavres réunis.
Images de Nadia Porcar, Les baigneurs
Motet anonyme du XIIIe siècle, Ne sai que je die