Le meilleur de la mauvaise foi
Le principe qui consiste à appliquer différents titres à une photo pour en changer le sens est connu des publicitaires, beaucoup moins des lecteurs allaités aux corn-flakes littéraires. Rebaptisant « Le meilleur de la mauvaise foi » les pages acrimonieuses de ce blog, les plus haineuses dédiées à nos amis du Matricule des auges (– Ça va les groins ?), nous en adoucissons d’un baume la virulence vinaigrée en redéfinissant sans y toucher nos intentions mauvaises : notre humour outrancier ne visait pas l’humanité confite dans l’auge, mais entendait mettre à distance une manière d’être promise à la casserole – une sorte d’humour d’un genre nouveau auquel manqueraient l’humour et le nouveau.
Pour l’article sur Brodsky, on vous attend, les gras. On n’a pas encore eu notre compte d’incompétence.
À paraître
Correspondance avec l’ennemi
de Christophe Esnault
(septembre 2014)
Pauvre Baudelaire
de Jules Vipaldo
(décembre 2014)